L'élevage des ruminants

est confronté à de multiples défis ces dernières années : réchauffement climatique, impacts environnementaux, bien-être animal, …
Offrir des solutions durables à ces nombreux défis doit permettre de répondre à la mission primaire de l’élevage : nourrir l’humanité avec des produits de qualité. Phytosynthese a pour volonté de contribuer à ce challenge au travers de ces produits, en conjuguant, à l’instar du concept « One Health », santé animale, sécurité sanitaire et considérations environnementale.

De nombreux essais scientifiques et terrain ont permis de valider l’efficacité des produits pour qu’ils s’inscrivent dans des programmes alimentaires avec l’objectif d’améliorer la rentabilité des élevages et leur résilience face aux aléas climatique et économiques.
Nos produits sont formulés pour la filière, des éleveurs aux consommateurs, afin d’assurer des produits animaux de qualité respectueux de l’environnement.

Digestif

Du fait d’une faible immunité et d’un système intestinal en développement, les jeunes ruminants sont particulièrement sensibles à la présence de pathogènes digestifs lors des premières semaines de vie.

De ce fait, les diarrhées néonatales ont un impact très important en élevage ruminant : perte de croissance, traitements, mortalité…

Plusieurs types de pathogènes peuvent être responsables de ces diarrhées : virus, bactérie, protozoaire.
On retrouve la cryptosporidiose dans cette dernière catégorie, qui se caractérise par des diarrhées verdâtres, et qui peut entraîner d’importantes mortalités en élevage (5 à 10%).
Autre protozoaire, avec moins de cas clinique, mais rencontré très fréquent sous forme sub-clinique, il s’agit de la coccidiose, qui intervient plus tard, à partir de 3 semaines d’âge.

Respiratoire

Environnement, faible capacité pulmonaire et déficience immunitaire, sont sources de problèmes respiratoires, principalement chez les jeunes ruminants.

C’est la 2ème pathologie rencontrée chez les veaux, après les diarrhées néonatales, et la première chez les chevrettes après sevrage.
Si les jeunes ruminants sont donc particulièrement sensibles, des facteurs de stress peuvent provoquer des cas cliniques sur des animaux adultes.

➜ Il est fréquemment observé des problèmes de lésions pulmonaires en abattoir, sur des agneaux ou bovin en engraissement.

 

Parasitaire

La gestion des pâturages et des conditions environnementales peuvent déséquilibrer la relation animal-parasites et engendrer des impacts cliniques et zootechniques.

Strongles, douves, paramphistomes, sont régulièrement rencontrés en élevage avec, pour conséquences, des pertes de croissance, une diminution de la production laitière et une altération de la réponse immunitaire.

➜ L’utilisation d’examens complémentaires, combinés à une approche intégrée de la gestion parasitaire du troupeau, est nécessaire pour un choix raisonné des traitements, et pour une maîtrise durable du parasitisme à l’herbe.

Source : JNGTV 2020, Ph. Camuset

Comportement

Métabolique

De façon ponctuelle, le métabolisme est particulièrement sollicité (péri-partum, stress thermique), créant un stress métabolique qui peut devenir chronique selon les conditions d’élevage.

Stress oxydatif et inflammation, sur ces périodes, entraînent une baisse des performances, et une hausse de la sensibilité aux pathogènes. Cela impacte le bien-être des animaux.

Le foie est aussi particulièrement sollicité lors de ces périodes, puisqu’il est responsable de 4 à 15% de la synthèse protéique et 25% de l’utilisation d’oxygène.

Responsable notamment de la néoglucogénèse, sa production quotidienne de glucose peut atteindre 2 à 2,5 kg par jour chez la vache laitière (Danfaer et al., 1995).

➜ La fonction hépatique est donc majeure pour assurer les fonctions de croissance, production et reproduction.

Ruminale

Le rumen est le principal organe digestif chez les ruminants.

Son écosystème, riche et complexe (bactéries, protozoaires, levures/champignons), permet, spécifiquement aux ruminants, de valoriser des rations fibreuses.

➜ Optimiser ce process de transformation cellulose en protéines animales, c’est permettre l’augmentation de l’efficacité alimentaire des rations et donc la rentabilité économique de l’élevage, tout en réduisant l’impact environnemental via la réduction des rejets (méthane et ammoniac).

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